Dominique Morneau

Psychologue organisationnel

M. Morneau est titulaire d’une maîtrise en psychologie des relations interculturelles de l’Université de Sherbrooke et d’une maîtrise en service social de l’Université de Montréal. Il complète actuellement son doctorat (D.Ps.) en psychologie organisationnelle à l’Université de Sherbrooke.

M. Morneau travaille dans le domaine du développement organisationnel depuis 2000. Il a réalisé différents mandats portant sur des diagnostiques organisationnels, des repositionnements stratégiques, des médiations, des résolutions de

conflits, des consolidations d’équipes de travail et d’équipes de gestion.

Il a également conçu et animé plusieurs programmes de formation ainsi que plusieurs conférences, principalement liés à la communication et à la résolution de conflits, en plus d’enseigner des cours en psychologie sociale et en psychologie des organisations à l’Université de Sherbrooke, à l’Université du Québec à Chicoutimi ainsi qu’à l’ENAP (l’école nationale d’administration publique).

Véronique Petit, D.Ps.

Psychologue organisationnel

Mme Petit est docteure en psychologie organisationnelle, spécialisée en gestion de la diversité, relations et formations interculturelles. Depuis 2006, elle a réalisé divers mandats en gestion de la diversité tels que le soutien à l’élaboration de politiques en gestion de la diversité et leur implantation en organisation (activités de sensibilisation, activités de formation et de développement de compétence, programme d’intégration des employés immigrants, création de liens de partenariat, etc.).

Conférencière et formatrice, elle a déjà plusieurs formations à son actif

et s’adresse à une clientèle diversifiée : employés de divers secteurs, bénévoles, personnel cadre, nouveaux employés immigrants, étudiants en soins infirmiers, etc.

Mme Petit a également été chargée de cours à l’Université de Sherbrooke. Elle a enseigné auprès d’étudiants étrangers ainsi qu’aux immigrants effectuant un retour aux études. L’objectif du cours étant de faciliter leur intégration à la culture universitaire ainsi qu’à la société québécoise.